Au terme de cet évènement de basketball qui a rassemblé la crème des basketteurs de la région du Centre, le promoteur, Cédrick Ottou Tchougoue, a bien voulu nous accorder une interview sur les à-côtés de la deuxième édition du tournoi de basketball The Roots basketball infinix.
Bonjour Cédric
Bonjour Brenda
Alors, tu es Promoteur de l’évènement The Root Basketball By Infinix, et par ailleurs, agent sportif, quel bilan peut-on en tirer de cette deuxième édition du Roots Basketball ?
Le bilan est entièrement positif. Nous avons essayé de tenir un pari fou, celui de construire un évènement, de le structurer en 4 jours, et de le présenter au public de la cité capitale. Parvenu à la fin de cet évènement, nous sommes essentiellement ravis. La plupart des personnes qui sont venues sont rentrées contentes. On n’a pas eu d’incident majeure. Il y a eu un basketball d’une très grande qualité. Même s’il y a eu des petits aléas liés à l’organisation, en général tout le monde était content. Nous même on a été très content d’assister à cet évènement.
Quel était le principal objectif à atteindre lors de ce tournoi et a-t-il été rempli ?
L’objectif principal était de savoir ce que le public de la capitale peut attendre d’un évènement de basketball. On voulait avoir une idée de ce qui peut marcher parce que notre but est de construire un événement majeure, super bien organisé sur des projections des perspectives alléchantes. Nous envisageons pour la prochaine fois faire une foire, des concerts chaque soir, faire un évènement qui va partir sur 3 à 4 jours. Maintenant, on a utilisé une stratégie innovante pour choquer le public et ils ont répondu positivement. Nos attentes étaient aussi de ramener beaucoup de monde, avoir un spectacle de qualité et on a pu le faire. Maintenant, il y a des petits problèmes liés à la logistique. Il y a des infrastructures qu’il faudra forcément modifier, voire renforcer et avoir une meilleure organisation.
Nous sommes à la deuxième édition, quel a été l’innovation de cette année par rapport à l’édition précédente ?
La première édition était un défis entre copain. On s’était dit de former quatre équipes et voir quelle équipe est la meilleure. Cette année-là, Biyem-Assi avait gagné. Aujourd’hui, sur quatre catégories, Biyem-assi a fait les finales sur toutes les catégories. En dame, on a perdu en finale, on a gagné chez les U14 et U16, on a gagné en Vétérans, et on a perdu en messieurs. Donc le bilan ne peut être que positif. On a été finaliste 4 fois, on a gagné deux fois et on a perçu. Donc chaque fois, on a eu un trophée. En tant que membre de Biyem-assi et de Falcons, je suis satisfait. Mais maintenant, en tant qu’organisateur, on comprend qu’il faut monter d’un cran.
Quelles sont les perspectives pour la prochaine édition ?
Pour la prochaine édition, Il faudrait par exemple qu’il y ait un règlement spécial du tournoi qui soit connu à l’avance, pour que toutes les équipes connaissent les règles, et qu’on travaille auprès des acteurs l’envi d’être ponctuel. C’est un problème assez important aussi. Parti sur un événement d’une journée qui devait commencer à 9 heures avec des risques de pluie, la météo annonçait presque un orage à 13 heures et 15 heures, donc il fallait courir toute la journée sur des matchs. Mais si les équipes étaient arrivées à la réunion technique tôt, on aurait fait une programmation meilleure et on aurait réalisé quelque chose de mieux. Mais bon, on a tenu notre pari, on a commencé notre premier match à 9h00. Je félicite d’ailleurs le président de la commission technique qui est un jeune de notre académie, Darios Noumi, qui a montré qu’on peut faire confiance aux jeunes et avoir des résultats extraordinaires.
Quels est le nombre totale d’équipe que cette deuxième édition a rassemblée ?
On a eu six équipes en seniors messieurs, quatre équipes en dames, quatre équipes en U14 et U16. Comme on se veut de s’améliorer, on va essayer de discuter avec le public sur la page officielle de The Roots basketball afin de de recueillir leur avis sur ce qu’ils ont apprécié ou pas, et voir comment l’améliorer la prochaine fois. Déjà je ne sais pas si c'est une bonne idée d'avoir un tournoi à plusieurs catégories, c’est quelque chose qu’il faudra peut être revoir.
Bonjour Cédric
Bonjour Brenda
Alors, tu es Promoteur de l’évènement The Root Basketball By Infinix, et par ailleurs, agent sportif, quel bilan peut-on en tirer de cette deuxième édition du Roots Basketball ?
Le bilan est entièrement positif. Nous avons essayé de tenir un pari fou, celui de construire un évènement, de le structurer en 4 jours, et de le présenter au public de la cité capitale. Parvenu à la fin de cet évènement, nous sommes essentiellement ravis. La plupart des personnes qui sont venues sont rentrées contentes. On n’a pas eu d’incident majeure. Il y a eu un basketball d’une très grande qualité. Même s’il y a eu des petits aléas liés à l’organisation, en général tout le monde était content. Nous même on a été très content d’assister à cet évènement.
Quel était le principal objectif à atteindre lors de ce tournoi et a-t-il été rempli ?
L’objectif principal était de savoir ce que le public de la capitale peut attendre d’un évènement de basketball. On voulait avoir une idée de ce qui peut marcher parce que notre but est de construire un événement majeure, super bien organisé sur des projections des perspectives alléchantes. Nous envisageons pour la prochaine fois faire une foire, des concerts chaque soir, faire un évènement qui va partir sur 3 à 4 jours. Maintenant, on a utilisé une stratégie innovante pour choquer le public et ils ont répondu positivement. Nos attentes étaient aussi de ramener beaucoup de monde, avoir un spectacle de qualité et on a pu le faire. Maintenant, il y a des petits problèmes liés à la logistique. Il y a des infrastructures qu’il faudra forcément modifier, voire renforcer et avoir une meilleure organisation.
Nous sommes à la deuxième édition, quel a été l’innovation de cette année par rapport à l’édition précédente ?
La première édition était un défis entre copain. On s’était dit de former quatre équipes et voir quelle équipe est la meilleure. Cette année-là, Biyem-Assi avait gagné. Aujourd’hui, sur quatre catégories, Biyem-assi a fait les finales sur toutes les catégories. En dame, on a perdu en finale, on a gagné chez les U14 et U16, on a gagné en Vétérans, et on a perdu en messieurs. Donc le bilan ne peut être que positif. On a été finaliste 4 fois, on a gagné deux fois et on a perçu. Donc chaque fois, on a eu un trophée. En tant que membre de Biyem-assi et de Falcons, je suis satisfait. Mais maintenant, en tant qu’organisateur, on comprend qu’il faut monter d’un cran.
Quelles sont les perspectives pour la prochaine édition ?
Pour la prochaine édition, Il faudrait par exemple qu’il y ait un règlement spécial du tournoi qui soit connu à l’avance, pour que toutes les équipes connaissent les règles, et qu’on travaille auprès des acteurs l’envi d’être ponctuel. C’est un problème assez important aussi. Parti sur un événement d’une journée qui devait commencer à 9 heures avec des risques de pluie, la météo annonçait presque un orage à 13 heures et 15 heures, donc il fallait courir toute la journée sur des matchs. Mais si les équipes étaient arrivées à la réunion technique tôt, on aurait fait une programmation meilleure et on aurait réalisé quelque chose de mieux. Mais bon, on a tenu notre pari, on a commencé notre premier match à 9h00. Je félicite d’ailleurs le président de la commission technique qui est un jeune de notre académie, Darios Noumi, qui a montré qu’on peut faire confiance aux jeunes et avoir des résultats extraordinaires.
Quels est le nombre totale d’équipe que cette deuxième édition a rassemblée ?
On a eu six équipes en seniors messieurs, quatre équipes en dames, quatre équipes en U14 et U16. Comme on se veut de s’améliorer, on va essayer de discuter avec le public sur la page officielle de The Roots basketball afin de de recueillir leur avis sur ce qu’ils ont apprécié ou pas, et voir comment l’améliorer la prochaine fois. Déjà je ne sais pas si c'est une bonne idée d'avoir un tournoi à plusieurs catégories, c’est quelque chose qu’il faudra peut être revoir.